L’inespéré retour d’un groupe culte, disparu des radars pendant 30 ans.Du haut de ses Pyramids, Idris Ackamoor a été l’un des pionniers de l’afro-futurisme, version free-jazz-funk-psychédélique. Tout a commencé dans une université de l’Ohio, en 1971, où le jeune saxophoniste, monte un groupe de jazz avec d’autres étudiants. Ils décrochent une bourse universitaire pour aller étudier la musique africaine. Destination Paris – où ils se baptiseront The Pyramids – puis Maroc, Sénégal, Ghana, Kenya, Ouganda, Éthiopie… Au retour de cette odyssée, ils vont enregistrer trois disques devenus cultes, avant de disparaître des radars. Il aura fallu 30 ans au monde de la musique pour les rattraper, grâce au fondateur des Heliocentrics, Malcolm Catto, et au label Strut. Leur musique a gardé toute sa fraîcheur, avec des échos au space-funk de Sun Ra – comme lui, Ackamoor a mis l’humanité et l’écologie au cœur de ses préoccupations – et désormais à l’afrobeat et au blues, vers de nouveaux horizons créatifs....
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L’inespéré retour d’un groupe culte, disparu des radars pendant 30 ans.Du haut de ses Pyramids, Idris Ackamoor a été l’un des pionniers de l’afro-futurisme, version free-jazz-funk-psychédélique. Tout a commencé dans une université de l’Ohio, en 1971, où le jeune saxophoniste, monte un groupe de jazz avec d’autres étudiants. Ils décrochent une bourse universitaire pour aller étudier la musique africaine. Destination Paris – où ils se baptiseront The Pyramids – puis Maroc, Sénégal, Ghana, Kenya, Ouganda, Éthiopie… Au retour de cette odyssée, ils vont enregistrer trois disques devenus cultes, avant de disparaître des radars. Il aura fallu 30 ans au monde de la musique pour les rattraper, grâce au fondateur des Heliocentrics, Malcolm Catto, et au label Strut. Leur musique a gardé toute sa fraîcheur, avec des échos au space-funk de Sun Ra – comme lui, Ackamoor a mis l’humanité et l’écologie au cœur de ses préoccupations – et désormais à l’afrobeat et au blues, vers de nouveaux horizons créatifs.
L’inespéré retour d’un groupe culte, disparu des radars pendant 30 ans.Du haut de ses Pyramids, Idris Ackamoor a été l’un des pionniers de l’afro-futurisme, version free-jazz-funk-psychédélique. Tout a commencé dans une université de l’Ohio, en 1971, où le jeune saxophoniste, monte un groupe de jazz avec d’autres étudiants. Ils décrochent une bourse universitaire pour aller étudier la musique africaine. Destination Paris – où ils se baptiseront The Pyramids – puis Maroc, Sénégal, Ghana, Kenya, Ouganda, Éthiopie… Au retour de cette odyssée, ils vont enregistrer trois disques devenus cultes, avant de disparaître des radars. Il aura fallu 30 ans au monde de la musique pour les rattraper, grâce au fondateur des Heliocentrics, Malcolm Catto, et au label Strut. Leur musique a gardé toute sa fraîcheur, avec des échos au space-funk de Sun Ra – comme lui, Ackamoor a mis l’humanité et l’écologie au cœur de ses préoccupations – et désormais à l’afrobeat et au blues, vers de nouveaux horizons créatifs.
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