L'HOMME A LA TETE DE CHOU - L HOMME A LA TETE DE CHOU IN URUGUAY at La Batterie

Fan de Serge Gainsbourg, l’incontournable tromboniste de la scène française se saisit des pépites du célèbre auteur-compositeur-interprète pour les propulser dans son univers jazz. Avec ses trois complices, il en offre des versions magnifiques, tout en respectant le son si particulier des albums du grand Serge qui ont marqué l’orée des années 70.« Bonnie and Clyde », « Les amours perdues », « Comic Strip » … Si les mélodies sont clairement identifiables, les neufs « variations » créées par Daniel Zimmermann multiplient les clins d’œil au maître pour mieux s’en détourner...

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Fan de Serge Gainsbourg, l’incontournable tromboniste de la scène française se saisit des pépites du célèbre auteur-compositeur-interprète pour les propulser dans son univers jazz. Avec ses trois complices, il en offre des versions magnifiques, tout en respectant le son si particulier des albums du grand Serge qui ont marqué l’orée des années 70.« Bonnie and Clyde », « Les amours perdues », « Comic Strip » … Si les mélodies sont clairement identifiables, les neufs « variations » créées par Daniel Zimmermann multiplient les clins d’œil au maître pour mieux s’en détourner. Une relecture instrumentale très personnelle, où l’original est un prétexte à l’exploration de nouveaux paysages musicaux. Pour cette aventure, il s’est entouré de trois fidèles comparses à la guitare, à la basse et à la batterie, tout aussi sensibles que lui aux influences du rock et des musiques d’aujourd’hui. Un hommage sublime qui emprunte l’esprit de malice et l’irrévérence de Serge Gainsbourg (1928-1991). Prêts pour une balade dans les pas de Melody Nelson ?Contraction du nom de l’album L’homme à la tête de chou et du titre de la chanson « S.S. in Uruguay », le titre de la création de Daniel Zimmermann est à l’image de l’artiste : multiple. Brillant tromboniste et compositeur de jazz, il a tourné aux côtés de Claude Nougaro, Manu Dibango, Tony Allen et tant d’autres, collaboré avec l’accordéoniste Vincent Peirani, le saxophoniste Thomas de Pourquery, le Sacre du Tympan de Fred Pallem, l’Orchestre national de jazz… Comment a-t-il choisi les titres ? En les chantant avec son trombone ! Ce sont donc, sans surprise, des morceaux mélodiques des quinze premières années de la carrière de Serge Gainsbourg : un terreau propice, pour notre plus grand bonheur.

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